Preuve que l'on travaille, un peu
Sur Ijsberg MAGAZINE, Hector sort de sa cachette
Inflation du prix du bus à Cachi, un coca-cola payé une blinde la faute à notre tête de touriste, une arrivée à Salta sous le cagnard suivie de trois heures à déambuler pour trouver un hôtel disponible, Tournicotine qui se brûle en faisant la cuisine, ce 4 janvier 2016 avait tout pour être une journée de m****. Puis le wifi est arrivé. Et l’île de Pâques s’est dévoilée comme par magie en plein milieu du repas. Jaloux, Hector est alors soudainement sorti de sa boite. MIRACLE. Six mois après sa rédaction, le chapeau de Panama connaît lui aussi la joie d'une publication sur le site de Ijsberg Magazine. Du côté de l’Amérique du Sud, 2016 commence pas trop mal non ?
l'ile de Pâques se raconte dans Ouest-FRance
Les piges sont rares et précieuses du côté de la Tourniquette. Et cette chipie étourdie se paie, en plus, le luxe de louper une de ses publications. Drôle de surprise ce lundi 4 janvier, quand on traîne sur L’Edition du soir, une application smartphone et site internet du journal Ouest France, et que l’on découvre à la une du 21 décembre : « L’Ile de Pâques indépendante ? » Tiens, tiens. Bonne lecture et d’avance, maururu pour vos critiques.
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#1
Je pense que les Pascuans devront attendre encore longtemps leur autonomie .
Merci pour votre enquête très enrichissante et images de toute beauté !
2016 commence bien .... avec deux sujets différents .... ENFIN publiés!
Bel accomplissement !
" parfait, absolument parfais !"
Bises +++
Dominik Savant - El Informante / n° 1 du 19-10-2015
Dominik Savant
El
Informante
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#5
Trop chouette! Super initiative!
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#4
Wahooo beau travail les enfants, la mise en page perfecto….. Si je devais voter, j'aurai une préférence pour "el informante" mais c'est un avis très personnel…… Felicidades a todos, muy bien hecho……
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#3
Que de rubriques diverses er variées , beaucoup d'infos , de démarches sur le terrain , de questions , d'interrogations !
Belle démonstration de ces petits mousses .
L'essai est réussi et transformé sur un magnifique magazine clair et coloré !
Les ★☆★☆ vont briller longtemps dans les yeux de ces enfants .
Ils garderont à vie ce précieux journal nominatif , tout en se remémorant l'action bénéfique de profs - journalistes géniaux , alias Tia y Tio ♡♥♡♥ -
#2
Beau boulot Tio y Tia ;) Et surtout une aventure inoubliable je pense!!
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#1
Et bien ! Oui en effet belle mise en page !
Une chose est sûre le foot est bien dans leur vie !
Et malgré vos moments de doute ce que vous avez semé ces 3 semaines, même si pour certains les petites graines sont encore bien enfouies .... forcément à un moment ou un autre de leur vie , vous serez une référence ..... Tio et Tia ..... Vous allez avoir les oreilles qui vont siffler .... Et pas qu une fois je pense !
Vous vous souvenez d'Hector ?
A lire bientôt (et uniquement) sur vos tablettes, smartphones et ordinateurs à l’adresse suivante : http://xxxxxxxxxxxxxxxx.com. Bande d’impatients va !
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#5
et oui ! c'et bien beau de se couper du monde en Amazonie ... mais nous on attend ! :(((
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#4
Alors alors ? A quand la publi ?? :D
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#3
Le sombrero d'Hector est parti depuis la mi-mars !
Je vais aider le souffle du vent, pour qu'il passe déjà par ici ( canicule qui revient ) avant de reprendre sa route par là . Enfin, par "la"Paz !
Allez bon vent j'espère ! -
#2
Ha ha L&R ... C est un signe ! il faut vraiment y réfléchir !
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#1
Ah oui notre bel HECTOR !
Nous avons hâte de vous lire ..... ( sans prendre beaucoup de risque ) , je crois bien que LE CHAPEAU est de retour !!
D'avance, "chapeau bas" pour cette nouvelle publication à venir !
Ici, on publie... ou pas !
On ne peut pas toucher le gros lot à chaque fois ! Après le grand angle de Libé consacré aux vieux de Vilcabamba, notre projet d’article sur l’arrivée d’une monnaie électronique en Equateur ne verra cette-fois pas le jour. Ni sur la toile, ni sur support papier. Pourtant, on a eu deux touches sérieuses avec des médias hexagonaux mais… force est de constater qu’un sujet financier est bien moins vendeur qu’une hypothétique vallée des centenaires. Pas grave. Merci quand même aux responsables bancaires de Guayaquil qui nous ont accordé de leur temps précieux pour nous présenter le projet et à tous ces anonymes rencontrés dans la rue, qui ont accepté de partager leurs opinions sur cette hypothétique avancée économique et sociale. Et comme on n’a pas bossé pour rien non plus, voilà ci-dessous un synopsis (résumé) de ce papier fantôme rédigé en avril dernier.
Monnaie électronique : mensonge d’Etat ?
Assise sur sa chaise dans les rues de Guayaquil, Maria, 50 ans, s’en fiche pas mal. Son pays est pourtant devenu le premier au monde à se doter en février dernier d’une monnaie électronique publique. « Je préfère rendre l’argent de main à main », commente la responsable de quincaillerie. Nombreux sont les Équatoriens qui ne croient pas à ce Sistema de Dinero Electronico (SDE) prétendu révolutionnaire, voulu et vanté par le président Correa. « Crainte de fraude » pour Mario, « non adapté aux pratiques des habitants », selon Roberto. Résultat, deux mois après son lancement, seuls 13 000 usagers sont répertoriés dans les fichiers de la Banque centrale équatorienne (BCE), à l’origine du projet. La monnaie dématérialisée a pourtant de quoi séduire. En y adhérant, les citoyens ouvrent ainsi un compte en banque, dans un pays où près de 40 % de la population n’y a pas accès. S’en suit la possibilité de régler une course de taxi, ses achats au supermarché ou ses impôts, via un téléphone portable.
Mais sur le terrain, le dispositif s’éloigne de son objectif premier : l’inclusion bancaire. « De ce que nous ont dit les représentants de la BCE, c’est pour nous faciliter la vie », avoue José, propriétaire du restaurant Tacos Acapulco où l’on peut payer via le SDE. Du côté de l’autorité bancaire, le discours change. Non, le SDE ne se résume pas à un simple gain de temps. « Intégration bancaire plus large » et « réduction des coûts de fabrication du billet vert », défend Eddyn Echeverria Flores, responsable marketing à la BCE. Un ton rassurant qui peine à convaincre les économistes du pays comme Santiago Mosquera Terán, enseignant à l'Université San Francisco de Quito : « Je ne crois pas qu’il y aura une très grande pénétration au sein de la population. Jamais il ne remplacera la carte de crédit ou le paiement en liquide ».
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#3
Reçus dans le bureau du Présidente au milieu des trophées, diplômes, photos souvenir ... !
Quel honneur ! -
#2
On en apprend tous les jours…..je ne savais pas, merci pour l'info, de vrais petites fourmis , dommage que vous n'ayez pas trouvé preneur. Bisous
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#1
Et oui, l'Equateur va être le premier pays à être doté de la monnaie électronique !!
Faudrait déjà que la population se procure un téléphone mobile.... c'est pas gagné !
Politique, finance, intérêt ..... pour "contrer" le dollar américain n'est ce pas ? seule monnaie actuellement dans le pays !!
En effet, pas bien grave, déjà bien d'avoir eu des contacts avec la BCE !!
BRAVO et bizz
Vilcabamba et le business des seniors dans Libé
La pige a ses côtés frustrants, comme travailler des journées sur une proposition de sujet. Et ne jamais réussir à la vendre à un média. Comme celui de ne pas avoir la mainmise sur les choix de photo ou la mise en page de l’article. La pige reste un exercice journalistique des plus excitants. On aurait tant aimé effleurer ce Libé week-end du 28 mars, sentir son odeur, et le garder en souvenir. Merci de nous avoir lus. Pour les retardataires, voici le résultat de notre semaine à Vilcabamba.
Vilcabamba, le filon de l’eau de vie éternelle
Dans le sud de l’Equateur, cet ancien refuge hippie, autoproclamé «village des centenaires», attire de plus en plus les touristes occidentaux en quête de bien-être. Au grand dam des pionniers, inquiets de l’ampleur du phénomène.
Il bougonne. Sous son chapeau de cow-boy, ses sourcils froncent. L’allure un brin désabusée, Gavin Moore, les mains calées dans les poches d’un jean bien trop large pour l’homme grand et sec qu’il est, zieute la place du village.«Vilcabamba, ce n’est plus l’Equateur», grogne-t-il, avant d’opérer un demi-tour déterminé. Direction la maison de Wilson, son acolyte équatorien, située à l’écart du centre. Chacun de ses pas l’éloigne des Nord-Américains, Suisses ou Allemands débarqués ici plus récemment. Gavin fait partie des pionniers parmi les expatriés. «Quand je suis arrivé en 1983, il n’y avait que trois voitures. Je cherchais exactement ça, un endroit loin de toute civilisation. Les terrains étaient très bon marché et le climat idéal», raconte le Néo-Zélandais âgé de 61 ans. Lire la suite sur Liberation.fr
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#5
Jamais douté .... un grand bravo et au prochain article !!
On le fait savoir.... t'inquiète !
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#4
Bravo! J'en ai mm la version numérique :)
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#3
En Pau también…….buen trabajo….. Una vez más felicitaciones y espero que ustedes tengan la oportunidad de escribir otras y venderlas..... Buena suerte
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#2
Un exemplaire vous attend en Suisse aussi :) Great Job !!
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#1
Vous pourrez le sentir ... L ' effleurer .... Le garder en souvenir ... En espérant juste que les pages n'auront pas trop jaunies ! .... Comprenne qui voudra ! ;)
Bientôt chez votre marchand de journaux...
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#8
Super le lien ! Merci Manu H. ;)
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#7
A lire ici (sans les photos) :
http://www.liberation.fr/monde/2015/03/27/vilcabamba-le-filon-de-l-eau-de-vie-eternelle_1229754
Bravo ! ;-) -
#6
Coucou vous deux !
Enfin première publication en ce 28 mars 2015 et "attention" 4 pages complètes sur LIBERATION WE !!
Très bel article, beaucoup d'infos et photos ; ouaaaahhh SUPERS FIERS de vous DEUX !!
(pas encore reçu vos cartes de presse mais dès réception, direction .... Amérique du Sud !
"Le filon de la vie éternelle" c'est tout ce que l'on vous souhaite .
GROS BIZZ de Pa & Man
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#5
Pour ceux qui sont intéressés ... c'est samedi 28/03 la publication.
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#4
Muy bien, estamos esperando la "salida del periódico con impaciencia"…..Felicitaciones…..Besos
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#3
Youhouuuu ! Congrats :)
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#2
Ahhhhh ben voilà, là on peut commencer à croire que vous travaillez un peu! Enfin presque....hein Sylvain, fait pas semblant!
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#1
Ah quand même ! Mais notre bourguignon réfléchit-il ou surveille t-il les moustiques ???
M&JP (mercredi, 06 janvier 2016 14:56)
La tourniquette commence bien l'année, comme dit D. ça valait le coup de patienter….Très agréable à lire, on s'y croirait… merci et félicitations pour les deux articles superbement écrits….Besos
D. (mercredi, 06 janvier 2016 10:41)
Depuis le temps qu'on attendait Hector, ça valait le coup de patienter !
Merci bien pour ce partage !
la danoche (mardi, 05 janvier 2016 07:12)
Beaucoup de compassion pour ce modeste Hector et les siens !
Que travail et quelle minutie pour la confection d'un Panama !! On comprend mieux certains tarifs !
La qualité se paye .
Le trop plein "de soleil" peut-être un inconvénient pour une belle conception .... ça c'est le comble !
Ce couvre-chefs équatorien donc , tombe PILE en ce début d'année !
Chapeau à vous deux pur toutes ces explications et reportage .
Bravo
n. (mardi, 05 janvier 2016 05:44)
Hector aurait-il eu envie d'un coup de pub afin de devenir LE CHAPELIER de ces drôles de bonshommes qui se la jouent romantiques face au coucher de soleil ?